Il y a encore une cinquantaine d'années, vivait là "la Fine à Bougnet" (Joséphine Decroux dit Bugnet). Son salaire de "bouillandire" (lavandière) consistait en un fagot de bois qu'elle traînait derrière elle en rentrant le soir, un vêtement ou une paire de sabots déjà usagés ! Elle était également nourrie !
Pour les adoucir, elle portait les chemises neuves de chanvre appartenant aux dames à la peau sensible. Elle était décédée depuis plusieurs jours, lorsque les voisins se sont inquiétés.
Sa maison, à Pouilly : |
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